Hé non, je ne suis pas mort
Bonsoir à tous (et toutes).
Après une très (trop) longue absence, je vais tenter de faire revivre peu à peu ce blog.
Mon silence prolongé a coincidé avec la fin de mes études. Bon, je brise le suspense tout de suite, bien sûr que je ne travaille pas dans l'Intelligence Economique (faut pas rêver non plus) !!
Malgré un stage chez un grand compte au sein d'une équipe de veille concurrentielle et quelques contacts auprès de société éditrice d'agents intelligents, j'ai du me faire une raison.
En 3 mois d'inactivité pesante, j'ai eu un seul misérable entretien sur Paris (150€ aller/retour pour ma poche, ça fait plaisir quand on a ni droit au chômage, ni au RMI) pour un poste de veille concurrentielle pour le mirobolant salaire de 1500€ brut mensuel. Ce n'est même plus du foutage de gueule à ce niveau, c'est du grotesque splendide.
Bref, j'ai eu une proposition à l'étranger pour un métier assez éloigné (chef projet marketing) et je n'ai pas hésité une seconde à suivre l'appel de notre Président ("Chers jeunes, partez à l'étranger si vous n'avez pas de travail en France"). Il m'arrive néanmoins de mener encore des études (de marché du coup :-)
Je continue à suivre l'actualité de l'IE et je vais tenter d'y apporter ma contribution avec un regard peut-être plus... cynique ?
A suivre ;-)
Après une très (trop) longue absence, je vais tenter de faire revivre peu à peu ce blog.
Mon silence prolongé a coincidé avec la fin de mes études. Bon, je brise le suspense tout de suite, bien sûr que je ne travaille pas dans l'Intelligence Economique (faut pas rêver non plus) !!
Malgré un stage chez un grand compte au sein d'une équipe de veille concurrentielle et quelques contacts auprès de société éditrice d'agents intelligents, j'ai du me faire une raison.
En 3 mois d'inactivité pesante, j'ai eu un seul misérable entretien sur Paris (150€ aller/retour pour ma poche, ça fait plaisir quand on a ni droit au chômage, ni au RMI) pour un poste de veille concurrentielle pour le mirobolant salaire de 1500€ brut mensuel. Ce n'est même plus du foutage de gueule à ce niveau, c'est du grotesque splendide.
Bref, j'ai eu une proposition à l'étranger pour un métier assez éloigné (chef projet marketing) et je n'ai pas hésité une seconde à suivre l'appel de notre Président ("Chers jeunes, partez à l'étranger si vous n'avez pas de travail en France"). Il m'arrive néanmoins de mener encore des études (de marché du coup :-)
Je continue à suivre l'actualité de l'IE et je vais tenter d'y apporter ma contribution avec un regard peut-être plus... cynique ?
A suivre ;-)